L'ensemble Airfix à l'échelle 1/76 de Battlefront.
Parachutes
Le parachute britannique de type X (parfois considéré comme un GQ X-Type, après le développeur et fabricant, la société GQ) est entré en service en 1940, restant en service jusqu'aux années 1960, puis avec quelques modifications, jusqu'au milieu des années 1990. . C'était le parachute standard de l'armée britannique pendant la Seconde Guerre mondiale. Il s’est avéré un design très réussi, et un certain nombre de commentaires que j'ai vus parmi les webarazzis du monde entier tiennent le X-Type en haute estime, en particulier par rapport au parachute Fallschirmjäger plus grossier.
La verrière du X-Type avait 28 panneaux et un sommet ventilé qui permettait à l'air emprisonné de s'échapper par le haut de la goulotte et non par le dessous du bord inférieur (ce qui provoquerait une oscillation indésirable). Les auvents en temps de guerre pour les parachutistes étaient généralement blancs mais pouvaient être de n'importe quelle couleur, y compris les auvents camouflés prototypes. Le tissu utilisé dans la fabrication a été initialement Rayon finalement remplacé par Nylon - jamais de soie. Les harnais de guerre étaient blancs.
En 1940, Raymond Quilter de la GQ Company, en collaboration avec Leslie Irvin d'Irvins (la société qui a breveté le premier ripcord et était le concepteur du blouson aviateur RAF), tous deux fabricants de parachutes, ont fabriqué les chutes. Le type X se composait de quatre parties:
1.Le parachute
2. Le sac intérieur
3. L'emballage extérieur
4. Le harnais.
Ce diable rouge est la première figurine de parachutiste que j'ai rencontrée dans mon enfance. Depuis cinquante ans maintenant, c'est à peu près la seule pose qui ait été tentée par les fabricants d'un parachutiste et sa chute. ESCI / Italeri ont fait en sorte que les soldats avec chute soient toujours emballés.
La verrière mesurait 714 cm (23 1/2 pieds environ) de diamètre (son contemporain, le T-5 américain était de 28 pouces). Je ne suis pas sûr de cela, mais il semble que quelques premières goulottes X-Type aient été fabriquées en soie, mais au moment de la campagne de Normandie, la soie était depuis longtemps indisponible. Les auvents de parachutistes britanniques en 1944 étaient fabriqués en coton (ramex), rayonne et nylon. Il y avait vingt-huit lignes de gréement, chacune de 7,6 m (25 pieds) de long avec une résistance à la rupture minimale de 181 kg allant du bord de la verrière à quatre anneaux en D attachés à quatre contremarches ou à des toiles de levage. La vitesse de descente était d'environ 7 m / s.
La plus grande richesse d'informations comparatives sur le British X-Type et le T-5 américain sera certainement avec les hommes du 1er Bataillon canadien de parachutistes, qui se sont entraînés à Fort Benning, en Géorgie, aux États-Unis, à l'aide du T-5. chute, mais a également dû être formé sur la chute et les techniques britanniques de type X lorsqu'ils ont été attachés à la 6e division aéroportée britannique pour le largage du jour J. La goulotte américaine T-5 fonctionnait à l'inverse du X-Type en ce que la verrière était déployée en premier et le cavalier tombait au bout des lignes de gréage, ce qui donnait une ouverture plus difficile. Le système américain employait également une goulotte de réserve, contrairement aux Britanniques, estimant que cela n'était pas nécessaire à la faible hauteur des sauts de guerre et à la fiabilité du X-Type. Il y avait des Canadiens qui ont mis fin à leurs transporteurs de parachutisme lorsqu'ils ont été confrontés à ce changement de deux à un, mais la plupart des Canadiens ont fini par préférer le X-Type pour deux raisons de saut importantes qui étaient des sortes de serre-livres: le premier et le dernier.
La colle blanche d'Elmer a été utilisée pour remplir le «3M» en relief dans le plastique. J'ai utilisé de fines bandes de papier, collées sur Elmer, pour représenter les joints entre les panneaux. Ce sera une chute de munitions, donc elle doit être rouge - mais rien ne semble moins réel que le rouge à pleine puissance pour un parachute en nylon à cette échelle (c'est aussi difficile que de représenter l'eau à petite échelle).
Le temps d'ouverture du T-5 était d'environ trois (3) secondes; un court laps de temps délibérément recherché par la conception - pour permettre des sauts de bas niveau dans la formation de masse (un emploi qui signifierait également qu'une goulotte de réserve ne serait probablement pas vraiment utile). Mécaniquement, cela a été réalisé en ayant la sangle de quinze pieds de long (attachée à la ligne statique) qui tirait le sac de parachute ouvert attaché à l'apex de la verrière. Dans Six armées de Normandie, John Keegan déclare qu'il n'y a eu aucun rapport de T-5 ne s'ouvrant pas le jour J. Certains prétendent que lorsque le parachute T-5 a été utilisé, c'était toujours un réconfort de recevoir le "choc d'ouverture" et de savoir que vous étiez dans une goulotte qui s'est ouverte. Cela peut être quelque peu contrebalancé par les nombreux rapports de commotions cérébrales, de blessures au dos et de pannes de courant parmi les parachutistes américains qui ont résulté d'un "choc d'ouverture" - John Keegan rapporte qu'il pourrait exercer une force allant jusqu'à 5G. J'ai vu qu'il était écrit que les parachutistes estimaient que le "choc d'ouverture" valait les brûlures de la colonne montante - c'était peut-être du sarcasme. Sur une zone de largage venteuse, le T-5 pourrait être difficile à sortir et entraînerait le soldat à moins qu'il ne puisse se libérer ou courir devant la chute et renverser l'air de la verrière. Les attaches à ressort du harnais T-5 traversaient le haut de la poitrine du pullover. Ceux-ci se sont souvent resserrés, en raison du choc d'ouverture et de la descente. Les membres du 1er Bataillon canadien de parachutistes n'étaient pas fâchés de voir la fin des cinq boucles qui devaient être fermées sur le T-5. Des survivants américains de la Normandie ont déposé des plaintes selon lesquelles les boucles étaient trop difficiles et trop longues à détacher dans des conditions de combat. Des goulottes de type T-5 ont été utilisées jusqu'au milieu de 1944, date à laquelle les gréeurs ont commencé à les convertir, en ajoutant un harnais équipé d'une boîte à dégagement rapide similaire à celle du X-Type.
The Wonderful thing about Tiggers
Je me débrouille bien avec les kits de tank, mais je suis surtout un modeleur de figurines. L'Airfix Battlefront oppose un char moyen américain M4 à un Tiger I! Ce n'est même pas une chance - même lorsque vous apportez le soutien du Bazooka du parachutiste! Je n'aime pas cet aspect de la composition du kit, même si cela ne m'a certainement pas dissuadé de l'acheter. L'ensemble Battlefront est une petite vignette cool qui s'est bien vendue pour Airfix. Mes réserves quant à la plausibilité de ces deux combattants se heurtant à angle droit lorsque tous ces fantassins sont là ne comptent pas beaucoup.
Le Airfix Magazine d'avril 1964 passe en revue le nouveau Tiger Tank, série 1, au prix de 2 shillings. Le premier que j'ai acheté était chez Ben Franklin 5 & Dime; il en coûte 56 ¢, taxes incluses.
Les autres versions d'Airfix 1/76 cette année-là étaient le Bren Carrier, le German Armor Car et le Centurion. La plupart des Airfix Tigers que j'ai eu ont été moulés dans le sable, mais dans les années 1990, j'en avais un couple en orange Airfixfrancaise, et dans les années 1960 un MPC pop en blanc et un autre MPC en olive clair.
Tout le monde a déjà vu une liste des déficits de ce modèle. La tourelle est de trop petit diamètre et il n'y a pas de bac de rangement à l'arrière. Les roues de route à jantes en acier de modèle de la fin de la guerre sont plutôt limitatives, et un ensemble extérieur de roues de route manque. Il n'y a pas de patin pour une mitrailleuse antiaérienne sur la cupule du commandant. La coque MG est du même calibre que le 2pdr. Sur le kit Airfix Matilda. Il n'y a pas de boucliers étouffants sur les échappements, pas d'outils pionniers, et le système de filtration d'air Feifel pour la campagne africaine (où le Tigre est généralement représenté sur la tête / boîte) n'est pas présent. . . et les marches le sont. . . enfin, révoltant. Mais j'adore ce kit! C'était le premier kit que j'ai construit quand j'étais enfant où j'utilisais toutes les pièces!
Le kit Airfix est ancien, et si vous voulez avoir un Tiger I précis à l'échelle 1/76, vous seriez probablement un goof pour ne pas opter pour le modèle Fujimi plus récent. Pourtant, le kit Airfix a quelques choses à faire - un canon de 8,8 cm vraiment attrayant et de très bonnes roues de dernière génération - si c'est la période de la guerre que vous visez, vous êtes prêt! L'autre chose à propos de l'Airfix Tiger est qu'il est généralement disponible et qu'il ne coûte généralement pas cher en comparaison.
En tant que jeune (diable, même quand j'étais plus âgé), j'ai eu du mal à assembler la tourelle. C'est un teaser de construire les côtés de la tourelle pour qu'aucune jointure ne soit visible à l'arrière - c'est amusant pour moi de réfléchir à ce que d'autres entreprises ont fait pour éviter ce problème. La solution la plus attractive est sûrement d'ajouter un panier tourelle.
La coque est à peu près une plaine Jane, vous pouvez donc aller en ville en faisant de petits détails à ajouter. L'add-on le plus important est les câbles de remorquage. Un bon fil de moquette serait un bon candidat pour ces câbles, mais la torsion de trois fils correctement calibrés ensemble fera également l'affaire. Essayez également d'éteindre la coque MG (vous auriez du mal à trouver quelque chose de moins plausible pour un MG34 Panzerlauf).
Que peut-on faire avec les pistes révoltantes? J'ai rapidement rejeté l'espoir de les rendre plus précises et j'ai décidé de simplement les rendre plus élastiques! Les bandes de roulement du kit sont massives, brutes et difficiles à travailler. Je suppose que ce sont les pires marches Airfix, mais les marches de l'Airfix T34 doivent être prétendantes. La première chose que j'ai faite a été de faire des coupes longitudinales en «V» sur les barres à chaussures à l'extérieur des rails (x3 canaux). Les marches du Tiger n’en avaient pas, mais cela rend la bande de roulement plus détaillée. La prochaine chose que j'ai faite a été de faire sortir de petits coins de l'extrémité extérieure des pistes. Cela a également servi à ajouter de la «dimension» à ces bandes brutes d'étrangeté de vinyle ou de caoutchouc ou de nylon. J'ai calé les marches en place à l'aide de vieilles lames Xacto, puis j'ai utilisé de la superglue pour le fixer en place. Le reste sera un travail de peinture.
Ces bandes de roulement, en combinaison avec mes faibles compétences en modélisation AFV, ont jeté l'alignement de l'essieu sur toutes les roues folles et d'entraînement. La prochaine fois que j'essaierai un Tiger, je vais devoir reconsidérer mes méthodes.
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